Mano solo, 46 ans, point final
Putain de début d'année 2010. Après Lhasa, qui me tenait si chaud au cœur et au corps, comme dit Voulzy, c'est Mano Solo qui se fait la malle. A 46 ans. Ce soir, around midnight, je n'ai aucune envie de commenter "à chaud" la mauvaise nouvelle. J'y reviendrai, évidemment. En attendant, je garde plein pot le souvenir de la prestation de Mano, sur Europe 1, lors de l'hommage rendu à la revue Chorus, aujourd'hui “liquidée”. Salut tout particulier à un rebelle tripal que j'avais découvert frontalement au Printemps de Bourges et suivi fidèlement depuis.